Sujet: Elyana Andrea Travis ☆ Sophia Bush Jeu 13 Fév - 14:55
Lovely Sophia Bush
Elyana Andrea Travis
« La liberté des uns commence là où s'arrête celle des autres. »
Carte d'identité :
Nom :
Travis.
Prénoms :
Elyana, Andrea.
Date de naissance :
Née le 08 juillet 1983.
Lieu de naissance :
Sydney, en Australie.
Âge :
30 ans.
Origines :
Australienne.
Situation amoureuse :
Célibataire.
Orientation sexuelle :
Hétérosexuelle.
Emploi :
Conseillère Principale d’Éducation.
Groupe :
I am part of the staff of the university.
Avatar :
Sophia Anna Bush.
Anecdotes & faits divers :
anecdotes
Je suis allergique au gel dont on se sert pour se soigner en cas de coups ou d'entorse, autant dire que c'est la grosse galère pour se soigner quand je me tords quelque chose • J'ai une peur bleue des piqûres, alors ne comptez pas sur moi pour être à jour dans mes vaccins ou pour faciliter la tâche des infirmières • Je n'aime pas l'hiver, il fait trop froid pendant cette période de l'année et la neige je déteste ça. Sans compter que durant cette saison le verglas fait souvent pas mal de dégâts. Ne vous attendez donc pas à me voir dehors quand la neige s'invitera et quand l'hiver pointera le bout de son nez • J'aime prendre mon petit déjeuner devant les dessins animés, surtout devant les Disney. Mon préféré ? La Belle et la Bête, depuis que je suis toute petite, je n'ai de cesse de me le passer en boucle • Depuis toujours j'ai peur des araignées, du vide et des véhicules à deux roues motorisées. Concernant ce dernier point, j'ai beaucoup d'amis qui ont été victime d'accident de la route à cause de ces engins, alors vous vous doutez bien que jamais je ne monterai sur une moto ou un scooter non ? • J'aime beaucoup les chats, d'ailleurs j'en ai depuis que je suis toute petite et je ne peux pas m'empêcher de recueillir un chaton que je trouve dans la rue. C'est totalement inconcevable pour moi de laisser ces petites bêtes sans défense à la rue, comme ça. • Petite, je voulais être vétérinaire, mais bon la vie a fait que j'ai très vite changer d'avis, sur ce point-là. • J'ai horreur du pamplemousse, de la salade verte et de tous les plats trop épicés. • Je suis une couche-tard et une lève-tard. Mais vu que comme la plupart des adultes de mon âge j'ai un emploi, je n'ai pas trop le choix, il faut que je me lève tôt, si je ne veux pas être virée de mon travail. • Côté cœur, je ne suis pas du genre à collectionner les conquêtes. Quand je suis amoureuse, je n'ai d'yeux que pour un homme et c'est tout. Mais ceci c'est uniquement quand je suis amoureuse, ce qui n'est pas du tout le cas pour le moment et qui ne risque pas d'être le cas dans les semaines à venir non plus...
Yep, mais il y en a tellement que je ne m'amuserai pas à tous vous les citer.
fréquence de connexion :
Autant que possible.
comment as-tu connu le forum ? :
J'étais sur le tout premier Princeton, puis sur le deuxième et enfin avec Steffie nous avons décidé de rouvrir Princeton du coup nous voilà de retour avec Princeton version 3.0.
Sujet: Re: Elyana Andrea Travis ☆ Sophia Bush Jeu 13 Fév - 14:55
Lovely Sophia Bush
Elyana Andrea Travis
« Croire en soi, c'est déjà presque réussir »
once upon a time :
Il était une fois, dans la grande ville de Sydney, vint au monde une jeune et jolie princesse... Non ! Stop attendez. Je me trompe d'histoire là. Les princesses n'existent que dans les contes de fées n'est-ce pas ? Et là je dois je vous parler de ma vie il me semble... Donc, je ne peux pas commencer à vous raconter celle-ci, comme cela, sachant que ma vie n'a rien d'un conte de fée et que je ne suis pas une princesse, sauf peut-être aux yeux de mes parents. Mais qui n'est pas une princesse ou un prince aux yeux de ses parents respectifs ? Peu de monde non ? Bref, revenons-en à nos moutons. Comme dit précédemment, je suis née dans la grande ville de Sydney. Mon père, un riche homme d'affaire, a rencontré ma mère, une avocate réputée comme étant la meilleure dans son domaine, lors d'une soirée mondaine qu'organisait les parents de celle-ci, chez eux. Si au départ, ils ne pouvaient pas se voir en peinture, mon père étant du genre volage et ma mère étant très romantique et fidèle, quelques mois après leur rencontre tout à changé. Notamment le comportement de mon père vis à vis des femmes. Étonnamment, sans même qu'elle ait demandé quoique ce soit à ce dernier, monsieur ne jurait que par une seule femme et non plus par plusieurs et pas par n'importe quelle femme qui plus est. Il ne jurait que par ma mère. Évidemment, au départ ma mère se méfiait, mais après plusieurs mois à faire ses preuves, elle ne pu que se rendre à l'évidence, il avait bel et bien changé. Ainsi, deux ans plus tard, ils se marièrent pour le meilleur et pour le pire et trois ans après leur mariage, je vis le jour. Que dire de mon enfance... Petite j'étais une enfant comme une autre, ni trop terrible, ni trop calme, juste entre les deux. Comme tout les enfants de mon âge, il m'arrivait de faire quelques bêtises, mais en général, je ne me faisais pas souvent prendre. A vrai dire, comme je trainais toujours avec mon grand cousin, à chaque fois que je faisais une bêtise, c'est lui qui se faisait prendre. Le pauvre, je ne compte même plus les engueulades dont il a été victime par ma faute. Mais bon, heureusement, il n'a jamais été rancunier pour ça, vis à vis de moi. Après tout, lui aussi avait fait enrager son frère aîné quand il était plus jeune. Niveau scolaire, j'étais souvent dans les premières de la classe et ce jusqu'à mon entrée dans l'adolescence, parce qu'après certes j'étais toujours dans les premières de la classe, mais en partant de la fin. Bref, je vous parlerai de mon adolescence plus tard, pour le moment, revenons-en à mon enfance. Mes parents toujours fous amoureux l'un de l'autre, n'était jamais l'un sans l'autre et quand mon père a hérité des boites de nuit de son père, c'est tout naturellement que ma mère l'a soutenu après la mort de mon grand-père, mais aussi pour le lancement de la nouvelle génération de boites de nuit. Moi, je n'avais bien évidemment pas le droit d'y aller, sauf quand on était en pleine journée et que la boite de nuit était fermée. Normal en même temps non ? Plus le temps passait, même si mes parents me portaient toujours autant d'attention et était toujours là pour moi, plus je voyais l'importance que ces boites de nuit prenaient aux yeux de mon père. Tout comme à ses yeux j'étais sa petite princesse, ces boites de nuit étaient comme « ses bébés ». Après tout, celles-ci avaient une certaine valeur sentimentale pour lui, désormais. Côté relationnel, on peut dire que j'avais pas mal de copains et de copines, mais comme tout le monde, il y avait aussi des personnes que je n'aimais pas et avec qui il m'était impossible de m'entendre. Et pourtant, ce n'était pas faute d'avoir fait preuve de patience et de diplomatie à leur égard. Mais que voulez-vous, on ne peut pas être l'amie de tout le monde n'est-ce pas ? Et ça, c'est bien dommage... L'adolescence, du latin adulescens qui signifie « le jeune homme », est la période de la vie humaine caractérisée par l'évolution de la personnalité enfantine vers la personnalité adulte ainsi que la maturité sexuelle, ou puberté. La majorité civile signale normalement sa fin. Enfin tout ça pour dire que chez nous les êtres humains, cette période est la période la plus critique de notre vie. C'est pendant cette période là que les premières fois prennent le plus d'importance à nos yeux. C'est aussi à cette période là que l'on apprend le sens des responsabilités et que notre caractère s'affirme totalement. Caractère, qui une fois que nous sommes adultes, peut encore changer évidemment. En ce qui me concerne, mon caractère n'a pas attendu ma majorité pour changer totalement. Non, celui-ci n'a jamais changé mais mon comportement lui, a totalement changé par contre. A treize ans je suis passée de la petite fille modèle à l'adolescente rebelle et ceci sans même que mes proches ne s'y attendent et sans que je puisse leur donner d'explications avant mes dix huit ans. Ainsi comme je le disais précédemment, je suis passée de l'élève première de la classe à l'élève qui n'en avait plus rien à faire des cours... Je suis sûre qu'à l'instant même où vous lisez mon histoire vous vous demandez ce qui a bien pu m'arriver lorsque j'avais treize ans pour changer ainsi de comportement. Vous voulez vraiment le savoir ? Je ne sais pas si à vous je peux le dire... Après tout mes parents ne sont pas au courant alors... Bon, bon d'accord, puisque vous insistez je vais vous le dire, mais promettez-moi d'abord de garder cela pour vous hein ! Je ne tiens pas à ce que tout le monde soit au courant de ce drame. Vous promettez alors ? Super. Alors voilà, quand j'avais treize ans, après avoir raccompagné ma meilleure amie chez elle et que je rentrais chez moi, je ne m'en suis pas aperçu de suite, mais quelqu'un me suivait et évidemment ce qui ne devait pas arriver... arriva. J'ai vécu un cauchemar pendant trois heures et mes parents ne se sont même pas rendu compte qu'il m'était arrivé quelque chose quand je suis rentrée chez moi, en retard et complètement déboussolée. Après coup, même si je leur en ai voulu pendant des mois après cela, j'ai fini par me faire une raison et me dire que s'il n'avait rien vu, c'est parce que la peur et la colère avait prit le dessus sur la raison. Me suis-je trompée en pensant cela ? Peut-être... Toujours est-il que je ne leur ai jamais dis ce qui m'était arrivé et mon père a disparu sans même que j'ai eu le temps de lui dire ce qui m'avait changé à ce point... Je m'étais faite violer et jusqu'à la mort de mon père, j'avais continué à vivre ma vie comme si de rien était. Enfin pas totalement bien entendu puisque ce viol venait me hanter chaque nuit, du coup je dormais très mal et mes notes chutaient chaque fois un peu plus. Coté cœur, vous devez bien vous douter qu'après ce viol, je n'ai plus du tout fait confiance en les hommes non ? Je ne faisais plus confiance aux hommes, ni aux femmes. Pourquoi aux femmes ? Tout simplement parce que durant le calvaire que j'avais vécu quand j'avais treize ans, une femme était présente et elle n'a rien fait pour me venir en aide. Les seuls personnes en qui je savais que je pouvais avoir totalement confiance n'étaient alors que mes parents, qui eux ne savaient rien de ce drame. Vous imaginez bien que ce secret devait être lourd à porter non ? Tellement que pour oublier ce que j'avais vécu je suis devenue une autre moi. Au lieu d'être cette jeune fille sérieuse concernant mes études, comme je l'étais quand j'étais petite, je passais mon temps à sécher les cours, à faire le mur le soir pour aller en boite avec mes amis. Amis qui étaient plus âgés que moi qui plus est. Ne voulant pas m'engager dans une relation sérieuse, de peur de souffrir et d'être abusée de nouveau, je préférai les relations d'une nuit, ainsi que les relations non exclusives. Après tout, ce n'est pas parce que j'avais été violée, qu'il fallait que je gâche totalement ma jeunesse ? Ainsi ma première fois, m'ayant été volée, j'ai tout fais pour que les fois suivantes ressemblent un peu plus à celle que j'avais imaginé qu'elle serait. Mes parents me voyant sombrer petit à petit dans la débauche, impuissant face à cela, avaient pourtant tenter tout ce qui était à leur portée pour me sortir de ce tourbillon et ce... avec succès, puisque grâce à la sœur de mon père, qui était professeur dans mon lycée, je pu réintégrer l'établissement sans trop de problèmes et mes notes remontant peu à peu la pente, je fus finalement et à ma plus grande surprise, acceptée dans une université qui se trouvait loin de chez mes parents. Avais-je besoin de me retrouver loin de Sydney pour me retrouver moi-même ? Bien sûr que oui ! En tout cas, le fait de me retrouver loin de ce lieu où on m'avait prit mon innocence, me rassurait quelque peu. Six mois... Six mois que j'étais dans cette université, que je m'étais fais de nouveaux amis, que je vivais ma vie « normalement » et en une journée mon bonheur s'écroula de nouveau, quand j'appris que mon père avait un cancer du pancréas et que de toutes manières, il était condamné. Pourtant, plutôt que de sombrer à nouveau dans la débauche comme je l'avais fais après mon viol, voulant que mon père soit fier de moi, je me suis donnée à fond pour réussir mon année scolaire, afin qu'il voit qu'il avait bien fait de m'envoyer dans cette université. Malheureusement, six mois plus tard, c'est à la morgue que je le revoyais, entourée de ma famille... Mais pas de ma mère. Pourquoi ? Pourquoi ne nous avait-elle pas encore rejoint comme elle m'avait dit qu'elle le ferait quand je suis partie de chez nous pour aller à l'enterrement ? La réponse à ma question n'était arrivée que bien plus tard, deux ans après l'enterrement de mon père exactement... De son vivant, ce dernier ayant apprit que ma mère le trompait depuis un moment, avait fait changé son testament pour que toute sa fortune et ses biens me soient confiés et il avait fait cela, sans même en dire un mot à ma mère. Ce que je ne savais pas non plus et que la sœur de mon père m'avait apprit, c'est que sur son lit de mort, ce dernier avait annoncé la nouvelle à ma mère et avait demandé le divorce, même s'il savait qu'il n'allait plus être de ce monde sous peu. Vous imaginez bien ce que j'ai pu ressentir en apprenant tout cela, deux ans après l'enterrement de mon père n'est-ce pas ? J'étais dégoûtée et me sentant trahie, j'ai totalement coupé les ponts avec cette femme que j'avais longtemps appelé maman. Évidemment cette histoire ne me rassurait pas du tout concernant l'avenir de toutes relations amoureuses et c'est pourquoi, plutôt que de m'engager un peu plus sérieusement avec le premier venu, qui me ferait part de ses sentiments, j'avais décidé de continuer à entretenir une relation non exclusive ou des histoires d'une nuit. Hors de question que je donne mon cœur à quiconque... Je ne voulais pas souffrir comme mon père avait souffert durant les derniers mois de sa vie. Aujourd'hui, ça fait neuf ans que mon père est mort et je n'ai toujours pas réussi à faire totalement mon deuil de sa présence. Néanmoins, je continue à vivre comme je l'ai toujours fais jusque là, quand il m'arrivait quelque chose de douloureux, en occultant le mal qui me rongeait de l'intérieur et en ne montrant rien aux personnes qui m'entourent. C'est d'ailleurs grâce à ma joie de vivre apparente que j'ai réussi, sans problèmes à décrocher une place de conseillère d'éducation à l'université de Princeton, celle-la même où j'ai étudié étant plus jeune.