La célèbre université de Princeton est assaillie par les flammes. La panique gagne peu à peu les étudiants, tout comme le personnel. Ils tentent de s'enfuir, mais ils se rendent bien vite compte qu'ils sont coincés. La sécurité des portes anti-feu est activée. La bonne nouvelle, c'est qu'ils seront sains et saufs. La mauvaise, c'est qu'ils ne savent pas pour combien de temps ils seront pris au piège. Et par dessus le marché, l'électricité a été coupé. Elina I. Jay-Crawfield, Marian E. Crowley et Blake J. Buckhart se retrouvent enfermés au niveau de la salle multimédia. Ils n'ont pas d'autres choix que d'attendre. Entre panique, angoisse et règlements de compte, vous n’êtes pas au bout de vos surprises. A vous de jouer !
Roulement du RP : elina i. jay-crawfield ↬ marian e. crowley ↬ blake j. buckhart (si il n'y a pas de réponse du suivant dans les 3 jours alors c'est le prochain qui prend le relais)
Pour la première fois de ma vie, j'ai ressenti le sens du mot jamais. Eh bien, c'est terrible. On prononce ce mot cent fois par jour mais on ne sait pas ce qu'on dit avant d'avoir été confronté à un vrai "plus jamais". Finalement, on a toujours l'illusion qu'on contrôle ce qui arrive, rien ne nous semble définitif.
J'avais les yeux plantés devant l'écran d'un des ordinateurs de la salle multimédia du campus de l'université. Pas pour un quelconque cours de sociologie rasoir sur lequel j'avais un devoir à rendre. Bon « rasoir » j'exagère un peu, parce que si je suis dans cette filière, c'est que cela me plaît un minimum quand même. Mais cela reste des cours, et je reste une fille plus pratique que théorique. Un peu comme beaucoup de monde d'ailleurs. Non, j'étais devant cet ordinateur pour une toute autre raison... M'acheter des fringues ! Bah oui, le printemps arrive et je n'ai plus rien a me mettre. D'accord, j'ai beaucoup de trucs à me mettre, mais ils datent tous d'au moins du printemps dernier. Et maintenant que je suis à l'université, j'ai l'impression que ce n'est déjà plus de mon âge. Je ne vais pas pour autant abandonner mes petites robes, mais je vais au moins essayer de mettre les fleurs et le rose au placard. Et comme la connexion dans le dortoir n'est pas au top du top, j'ai décidé de venir faire mon shopping ici, en salle multimédia. Normal. Le problème, c'est que à peine j'ai eu le temps de me connecter à ma session qu'une alarme assourdissante retentie. Pensant à un de ces tests bidons qu'ils nous font passer tous les mois pour être sûr que l'on sait comment évacuer les lieux en cas de danger, je ne bouge pas mon popotin le moins du monde. Jusqu'à ce que... « A l'attention de tous les étudiants et du personnel. Un feu s'est déclaré dans la partie ouest du campus. Par mesure de sécurité, nous vous demandons de rester où vous êtes ainsi que de garder votre calme. Nous vous tiendrons informé des événements. ». Je regarde le haut parleur dans le coin en haut à droite de la pièce d'un air ahuri. Ils sont sérieux là ? Ils nous annoncent qu'on va tous griller comme des mashmallows et qu'on ne doit pas bouger d'un pouce ? Je me lève de ma chaise pour sortir d'ici le plus vite possible, mais c'était sans compter sur le système de sécurité qui a bloqué toutes les portes. Génial. Tout simplement génial. Je suis trop jeune pour mourir. Oui, en temps normal, je suis optimiste dans la vie... Mais là, j'ai peur. Je me retourne pour regarder qui j'ai avec moi. Vu l'heure avancée de la nuit, il n'y a presque personne. Deux, plus précisément. La bonne nouvelle, c'est que je reconnais Blake et que je sais qu'il sera là pour me rassurer. La mauvaise, c'est qu'il y a aussi Marian, ma référante à l'hôpital qui me mène la vie dure et dont je me serais bien passé de la présence ce soir.
Where there is smoke, there is fire - intrigue n°1
Elina, Blake & Marian
Le menton posé dans le creux de sa main, Marian lit distraitement la même ligne du même document depuis plusieurs minutes sans que les mots ne parviennent à faire sens dans son esprit. Il commence à se faire tard, et la fatigue due aux quelques heures passées à travailler devant l'écran commence à se faire ressentir. Se redressant pour s'étirer, la jolie brune se frotte les yeux quelques secondes pour faire passer la sensation de picotement et de brulure que lui ont valu ces heures passées à travailler sans ses lunettes restées dans leur étuis au dortoir. Détournant les yeux de son propre écran pour jeter un coup d'oeil vers l'ordinateur voisin sur lequel Blake travaille lui aussi depuis leur arrivée, la jeune femme constate qu'il a l'air d'avoir plutôt bien avancé dans ses recherches. "Tu t'en sors?" Questionne-t-elle avec un sourire léger après avoir chassé le lécher chat installé dans sa gorge après une période de mutisme prolongé.
Coupé par l'alarme incendie qui se fait soudainement entendre dans toute la pièce, Blake n'a même pas le temps de lui répondre. Devant eux, les écrans d'ordinateur s'éteignent, emportant avec eux le fruit de leur dur labeur, tandis que la pièce est plongée dans une semi obscurité. Seules les lumières indiquant les sorties de secours alimentée par un second générateur projettent un halo verdâtre sur la salle multimédia et ses occupants alors qu'une annonce se fait entendre depuis les hauts parleurs. Tournant les yeux vers Blake à qui elle adresse un regard inquiet, Marian se lève rapidement pour se diriger vers les portes où se trouve déjà une autre jeune femme qu'elle connait plutôt bien. Elina fait partie des bénévoles placés sous son autorité à l'hôpital. Et bien qu'elle ait plutôt honte de son comportement envers la jeune femme, Marian est forcée d'admettre qu'elle ne se montre pas toujours des plus tendres avec l'étudiante. Sans doute parce qu'elle s'entend trop bien avec Blake à son goût...Croisant son regard, Marian baisse rapidement la tête avant de reporter son attention sur son ami. "Est-ce qu'ils vont vraiment nous laisser enfermés ici? Ils savent que le feu ne s’embarrasse pas de quelques murs?" Questionne-t-elle à l'attention de ses deux camarades, l'inquiétude perçant dans sa voix. Marian déteste être enfermée quelque part. Elle ne verrouille jamais les portes derrière elle de peur de rester coincée, alors autant dire qu'elle ne se sent pas des plus sereines actuellement...!
Dernière édition par Marian E. Crowley le Lun 7 Avr - 10:56, édité 1 fois
Blake J. Buckhart
☆ Arrivée à Princeton : 26/02/2014 ☆ Copies rendues : 575 ☆ Avatar : Daniel Sharman ☆ Crédits : (c) caraphernelia (avatar), (c) broadsword (signature) (c) tumblr (gif) ☆ Etudes/Emploi : Double cursus : Langue et littérature allemande et espagnole/mécanicien à mi temps/patineur artistique en grande pause
Sujet: Re: Intrigue + Groupe 1 Jeu 3 Avr - 19:32
There's a fire starting in the campus
Elina, Marian & Blake ⊹ Salle Multimédia Cela fait quelques heures que tu planches sur tes recherches pour le prochain cours d'allemand, tu avais choisi de disserter sur la poésie et plus particulièrement celle de Rilke.Il est tard et tu as bien avancé ton exposé, suffisamment pour ne plus avoir que la mise en forme à retravailler. Marian, avec qui tu étais venu étudier, te demande où tu en es tout en souriant, te tirant de tes recherches. Tu tournes la tête vers elle et t'apprêtes à lui répondre lorsque l'alarme incendie résonne, sitôt suivie de l'annonce de la mise en quarantaine du bâtiment. L'électricité ne tarde pas à être coupée, anéantissant tous vos travaux respectifs, laissant pour seuls éclairages ceux qui indiquent les sorties de secours. Tu regardes dépité l'écran d'ordinateur, interceptes le regard inquiet de ton amie, et te lèves à ton tour. Tu n'aimes pas spécialement ce confinement, plus même, tu sens une certaine angoisse te nouer l'estomac, enfin, tu ne laisses rien paraître et affiche une mine confiante. En effet, Marian semble déjà assez inquiète et tu aperçois Elina à quelques pas de là, telle que tu la connais, tu sais que ton amie ne dois pas être rassurée non plus. "Elina !" la salues-tu joyeusement malgré ton appréhension, te dirigeant vers elle puis lui faisant la bise. Ton regard fait la navette entre les deux brunes, avant que Marian ne prenne la parole, s'interrogeant sur leur enfermement dans la salle multimédia. Tu lui adresses un sourire que tu veux rassurant : "Je pense qu'ils sont parfaitement au courant ne t'en fais pas et que s'ils nous ont enfermés c'est pour éviter que certains tentent de sortir du bâtiment par eux même et qu'au contraire malheureusement, ils ne se trouvent piégés. C'est plus pour nous protéger qu'autre chose je pense. Bref, on a plus qu'à attendre que les pompiers viennent nous évacuer." Tu te tournes vers Elina, lui adressant le même sourire rassurant. Tu t'éloignes ensuite des deux jeunes femmes et commence à ouvrir les fenêtres, espérant qu'ainsi le malaise que t'inspirait l'enfermement se ferait plus discret : "Par contre, on va ouvrir les fenêtres, je tiens pas à finir asphyxié, enfin si ça ne vous dérange pas bien sûr" fut ton prétexte pour cela faire. Une fois ta mission accomplie, tu retournes auprès de tes camarades et leur lances, espiègle, tu tentes de plaisanter pour détendre l'atmosphère. "Mesdemoiselles, en attendant, ça vous tente un petit feu de camp ? Je suis désolé, j'ai pas de marshmallows sur moi en revanche..." tu t'interromps et reprends, "Bon d'accord, c'est nul..." Ce n'était certainement pas la blague du siècle mais bon, qui sait combien de temps vous allez rester la dedans enfermé ? Autant commencer sur des bases à peu près bonnes.
Pour la première fois de ma vie, j'ai ressenti le sens du mot jamais. Eh bien, c'est terrible. On prononce ce mot cent fois par jour mais on ne sait pas ce qu'on dit avant d'avoir été confronté à un vrai "plus jamais". Finalement, on a toujours l'illusion qu'on contrôle ce qui arrive, rien ne nous semble définitif.
« Est-ce qu'ils vont vraiment nous laisser enfermés ici? Ils savent que le feu ne s’embarrasse pas de quelques murs ? ». J'hausse les épaules sans vraiment formuler de réponse. Je ne suis pas du genre méchante, bien au contraire même, mais vu comment me traite Marian depuis des semaines, je n'ai pas forcément envie d'être sympa avec elle. Alors même que l'on se retrouve enfermé dans un bâtiment en flammes, je n'arrive pas à mettre de côté son comportement vis à vis de moi. « Elina ! ». Je tourne le regard vers Blake qui vient me faire la bise, et je lui saute littéralement dans les bras. J'ai peur. Et en plus, j'ai envie de faire pipi. Alors que je me blottie contre lui, il retourne son attention vers ma référente à l'hôpital. « Je pense qu'ils sont parfaitement au courant ne t'en fais pas et que s'ils nous ont enfermés c'est pour éviter que certains tentent de sortir du bâtiment par eux même et qu'au contraire malheureusement, ils ne se trouvent piégés. C'est plus pour nous protéger qu'autre chose je pense. Bref, on a plus qu'à attendre que les pompiers viennent nous évacuer. ». Bizarrement, je ne me sens pas à l'abri du tout. Et encore moins lorsque Blake s'éloigne pour aller ouvrir les fenêtres en grand. « Par contre, on va ouvrir les fenêtres, je tiens pas à finir asphyxié, enfin si ça ne vous dérange pas bien sûr. ». Je secoue énergiquement la tête de haut en bas pour lui faire comprendre que ça me dérange beaucoup avant d'à mon tour me rendre aux fenêtres pour les fermer d'un coup sec. « Nan, mais t'es débile ?! L'air ça alimente le feu, laisse ces fenêtres fermées et pas touche. Nameoh ! ». Je reste donc plantée devant les ouvertures pour empêcher qui que ce soit de les ouvrir à nouveau. Un vrai chien de garde. « Mesdemoiselles, en attendant, ça vous tente un petit feu de camp ? Je suis désolé, j'ai pas de marshmallows sur moi en revanche... ». Je le regarde en haussant un sourcil. « Bon d'accord, c'est nul... ». N'empêche qu'il n'a pas tord que un petit détail : j'ai faim. Oui, j'ai envie de faire pipi et j'ai faim. Je ne suis pas sortie de la berge, moi je vous le dis. Je me dirige vers mon sac pour en sortir un sachet de crocodiles en gélatine. Oui, j'ai toujours des bonbons sur moi, ainsi qu'un paquet de mouchoirs, un baume pour les lèvres et une peluche miniature en forme de pikachu. Mais là, tout de suite, c'est surtout les sucreries qui m'intéressent. J'ouvre le paquet avant de mettre trois ou quatre bonbons dans ma bouche. Je tends ensuite la paquet au jeune homme. « Chu en veuch ? ». Je ne prends pas la peine d'en proposer à Marian. Oui, ce n'est pas très mature, mais j'assume.
Where there is smoke, there is fire - intrigue n°1
Elina, Blake & Marian
Les bras croisés sous sa poitrine, Marian suit Blake du regard tandis qu'il salue chaleureusement Elina. Elle même n'esquisse pas le moindre geste en direction de la jeune femme mais sens la jalousie monter en elle alors que l'étudiante se blottie dans les bras du jeune homme comme s'il était son seul espoir d'en réchapper vivante. Détournant le regard de cette vision qui la trouble férocement, la jolie brune se sent nettement moins coupable de la façon dont elle a pu traiter Elina ces derniers temps. Si elle ne s'est pas franchement montrée méchante en ne lui confiant que les activités les moins intéressantes au sein de l'hôpital, Marian n'est pas certaine de faire preuve d'autant de retenue la prochaine fois... Tournant brièvement les yeux vers Blake alors qu'il tente de la rassurer sur les intentions de la direction de l'université qui les a enfermé ici, elle hoche positivement la tête lorsqu'il propose d'ouvrir les fenêtres. Toute illusion lui permettant de ne pas se sentir piégée ici est la bienvenue, même s'il ne s'agit que d'une fenêtre ouverte."Bonne idée..." Souffle-t-elle avec un léger sourire à l'attention de son ami. Seulement, son soulagement n'est que de courte durée puisqu'Elina referme rapidement les fenêtres avant de se poster devant sous prétexte que l'oxygène alimente le feu. "Réfléchis un instant, Blake a raison, si ils nous gardent enfermés ici c'est que l'incendie doit être suffisamment loin pour ne pas nous atteindre. Ce ne sont pas trois fenêtres ouvertes qui vont l'attirer sur nous..." Fait-elle remarquer avec une pointe d'agacement dans la voix alors qu'elle adresse un regard courroucé à la jeune femme.
S'asseyant sur une chaise tout en laissant échapper un soupir de frustration et d'agacement, Marian reste de marbre alors que Blake tente une pointe d'humour. Habituellement, ce genre de remarque l'aurait faite sourire, mais la présence d'Elina et son comportement ajouté à l'angoisse de l'enfermement ne sont pas des sentiments propices au rire ou à l'amusement. Tournant les yeux vers Elina qui se désintéresse des fenêtres pour fouiller dans son sac, Marian observe son petit manège sans réagir tandis qu'elle offre des bonbons à Blake sans prendre la peine de lui en proposer. Levant les yeux au ciel face au comportement immature de la jeune femme, comme si quelques bonbons pouvaient vraiment la rendre jalouse, Marian se détourne de nouveau pour appuyer son menton contre son bras posé sur le dossier de sa chaise. Les yeux rivés sur l'extérieur, la jolie brune prie pour être rapidement libérée avant que les attentions d'Elina pour Blake, ne lui fasse faire quelque chose qu'elle puisse un jour regretter...
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Sujet: Re: Intrigue + Groupe 1 Mer 16 Avr - 13:53
There's a fire starting in the campus
Elina, Marian & Blake ⊹ Salle Multimédia Tu es quelque peu surpris par la réaction d'Elina alors que tu la salues, néanmoins tu lui rends volontiers son étreinte, ne remarquant pas l'agacement de Marian. Après t'être détaché de la jeune femme, tu réponds aux interrogations de la brune en essayant de la rassurer. Chose pas si aisée que cela étant donné que toi même tu ne te sentais pas des plus à l'aise te sachant enfermé dans la salle multimédia. Enfin, tu ne voulais pas que les filles ne se doutent de ton malaise, le jugeant négligeable et ayant comme priorité que tes amies paniquent le moins possible. C'est pourquoi tu décide d'ouvrir les fenêtres. Tu savais qu'en te donnant l'impression de ne pas être totalement enfermé dans la salle, tu aurais moins de mal à te concentrer. Sauf que cette initiative ne semble pas du goût d'Elina qui en prime te traite de débile, expliquant ensuite que l'air attise les flammes. La réplique de la jeune femme fait débat, et Marian prends ta défense. Tu sens à travers son ton qu'elle est agacée et tu lui adresses un regard de remerciement pour avoir pris ta défense. Visiblement, ce n'était pas l'amour fou entre les deux collègues, en effet, tu savais que Marian était la référente d'Elina à l'hôpital mais tu n'avais jamais parlé ni avec l'une ni avec l'autre des relations qu'elles pouvaient entretenir.
Alors qu'Elina semble fermement décidée à ce que les fenêtres restent fermées et se tient devant elle, espérant t’empêcher de les ouvrir à nouveau. Tu lui adresses un sourire en coin, une idée derrière la tête. Tu la prends en sac à patate sans le moindre effort, la déplace et ouvre une seule fenêtre. C'est ça l'avantage d'être très grand. Tu te retournes vers elle, accompagnant ta réplique d'un regard digne d'un chiot battu : "S'il te plaît, juste une fenêtre ouverte." Après cela, alors que tu tentes de détendre l'atmosphère, ta blague tombe à plat, un peu comme tu t'y attendais.
Plus tard, Elina s'agite et ouvre un paquet de bonbons et t'en propose, omettant volontairement d'en proposer à Marian. Conclusion : effectivement, ces deux là, ne s'aiment pas. Tu en piques un dans le sachet et remercie Elina dans sa langue maternelle avant d'ajouter quelques mots rassurant et regorgeant d'optimisme : "Grazie mille. Allez, ça va bien se passer ! On va bientôt nous sortir de là" Tu te retournes ensuite pour voir Marian scruter l'extérieur, inquiet, tu t'approches d'elle et demande doucement utilisant, par la même occasion, le surnom de la jeune femme : "ça va Mari ?" Okay, plus inutile comme question tu meurs. Bien sûr, y a un feu qui s'est déclaré on sait pas trop où dans l'université, vous êtes coincés dans la salle multimédia, mais TOUT BAIGNE. Ce serait même l'occasion de danser sur les tables de la salle multimédia. Oui, ta question est stupide, le pire c'est que tu t'en rends compte qu'une fois l'avoir posée.
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