Sujet: Alban C. Campbell ☆ Julian Schratter. Dim 13 Avr - 12:16
Alban, Caleb Campbell
"TA QUOTE DE FIFOU QUI DÉCHIRE TOUT"
passeport
Nom : Campbell. Prénoms : Alban, Caleb Date de naissance : 02/01/1991. Lieu de naissance : Washington Âge : 22 ans. Nationalité : Américaine. Origines : Américaine. Situation amoureuse : Célibataire. Orientation sexuelle : Hétérosexuel. Études/Emploi : Médecine. Groupe : Student. Avatar : Julian Schratter.
anecdotes et cie
anecdotes : Je suis maniaque et je ne peux pas voir quelque chose trainer. Je suis obliger de le ranger à sa place. • Je regarde beaucoup de films d'horreur, encore plus depuis que quelqu'un m'a dit que ça faisait maigrir. Pas que je sois gros, mais quand j'ai envie de manger un truc sucré, c'est devant un de ces films. • Je suis tellement bavard, qu'une fois, lorsqu'on était dans le bus, mon pote qui était à coté de moi est partie sans que je m'en rende compte. Au final, j'ai parlé au siège pendant un long moment. • Je fais beaucoup de sport, surtout la musculation. • Je déteste les endroits tout petits. Quand j'étais un gosse, j'avais peur d'aller au toilette tout seul alors mon père à dû agrandir la pièce. •Je déteste lire les romans, dès que je vois un livre avec plein de pages et plein de mot, je le balance loin de moi. • Je ne tiens pas à l'alcool et quand je suis bourré, j'embrasse tous le monde, mais mon chien. • Avant, j'étais un kikoo. • Une fois, j'ai offert un chien à ma copine pour son anniversaire. Elle était allergique. • Bien que je sois sortit plusieurs années avec Aria, elle n'a jamais voulu passé à l'acte... .... Pauvre de moi.
« Quoi ? Mais on a dit que c’était toi qui avais la garde d’Alban pendant ces vacances là ! » Dit une femme aux cheveux aussi d’orées que la paille qui se trouve juste en face de la maison de mon père, dans l’enclos des chevaux qui appartiennent à celui-ci. Elle serre les poings et grince des dents. Ses yeux bleus sont fixés sur mon père. Il l’a encore mise en colère… « Pardon ? On a jamais conclut ça ! » Dit celui-ci en soupirant, désespéré par cette femme qu’il aimait autrefois. « Tant pis, tu le prends quand même ! Moi j’ai un voyage d’affaire en France et il ne peut pas venir avec moi. Même à dix ans il n’arrête pas de se fourrer entre mes pattes ! » Grogna la femme. Je ne l’aime pas. Je la déteste. Et c’est réciproque. Depuis qu’ils se sont séparés à cause de ma naissance, j’endure la colère de ma mère vis-à-vis de moi. Elle n’avait qu’à pas me donner la vie si elle ne voulait vraiment pas avoir d’enfant… Mon père m’a dit, qu’ils se sont disputés et ont réellement divorcés sept ans et demi après que je sois venue au monde. Il m’a toujours assuré que ce n’était pas de ma faute mais la faute à ma mère. Toujours dans ces papiers et à son bureau d’avocat, elle ne pensait que rarement à sa famille depuis qu’elle était devenue le numéro un dans l’entreprise. Pourtant, mes deux parents s’aimaient à la folie. D’après ce que ma dit ma tante, ils se sont rencontrés grâce à leurs ex.
Au final, mon père n’a pas eu le dernier mot et il m’a prit avec moi pendant les deux semaines de vacance. Bien qu’il soit très occupé par son boulot de vétérinaire, il a prit soin de moi pendant ces quinze jours. J’ai pu monter les chevaux comme je le fais d’habitude quand je suis chez lui, mais cette fois-ci, il m’a autorisé à les monter seul, pendant que lui travaillait durement. J’adore être chez mon paternel, il y a tellement de chose à faire qu’il n’y a pas en ville, à Washington où vie ma mère. Je m’ennuie d’ailleurs beaucoup là-bas, sauf quand je suis à l’école, bien que je n’aime pas particulièrement étudier et me lever tôt. Seulement, je préfère entendre les professeurs raconter des choses qui ne m’intéressent pas du tout plutôt que d’avoir à subir les hurlements de ma mère dès que je lui demande de l’aide pour mes devoirs.
Et comme toutes les bonnes choses ont une fin, après deux semaines de pur bonheur, je suis retournée dans la grande maison de ma mère, avec mon beau père. Je l’aime d’ailleurs beaucoup, c’est lui qui s’occupe de moi à la maison et qui m’aide à faire mes devoirs. C’est un peu comme une maman que je n’ai jamais eu.
***
Alban, 16 ans, élève de dernière année de collège. Pendant plusieurs années, ça a été la guère chez ma mère. Mais j’ai grandis, et j’ai enfin pu avoir une vraie conversation avec elle. Cette situation ne pouvait simplement plus durer alors j’ai pris les devants et je lui ai dis ce que je ressentais, le mal qu’elle me faisait et à quel point je la haïssais de tout mon cœur. Elle n’a pas aimée cette révélation, elle à hurlée, elle à pleure, elle m’a fait sortir de la maison. Comme mon père habite assez loin d’ici et que je n’ai aucun moyen pour payer un taxi, je suis allé me réfugier chez ma petite amie. Son père ne me porte pas dans son cœur car il a l’impression que je lui vole ça fifille, mais malgré ça, la mère a insistée auprès de son marie pour me laisser venir vivre quelques jours chez eux. Ça s’est plutôt bien passé, j’ai créée des liens avec toute la famille, même la petite sœur de ma belle qui, pourtant, avait très peur de moi. Pourtant, je ne lui ai jamais rien fait, mais je comprends qu’elle soit timide. Ce n’est pas ce qui manque des gens timides au collège.
Pendant la petite semaine où je suis resté chez elle, en informant bien sûr mon beau père et mon vrai père de l’endroit où j’étais, nous avons parlé d’un tas de choses et je lui ai révélée ne pas savoir dans quel lycée aller l’année prochaine. Quant à elle, son choix était déjà tout fait, devenir vétérinaire était son rêve et elle avait même demandée à mon père de l’aider dans ses études, chose qu’il avait accepté volontier car Aria était une élève très brillante à l’école. A côté d’elle, je me sentais simplement impuissant et pas à la hauteur du tout. Je suis retourné chez ma mère. D’après mon beau père, elle s’est faite du soucis pour moi. Mon œil.
***
Je suis dans ma chambre en train de parler sur les réseaux sociaux avec mes amis. Je suis seul à la maison avec ma mère. Elle travail au sujet de l’un de ces nombreux clients. Je ne me soucis guère de sa présence, je dirais même que je m’en fiche. Un boum retenti dans toute la maison, me faisant sursauter au passage. Je me lève pour voir ce que c’est. Avec tous les films d’horreurs que je regarde, je ne suis pas très rassuré. En arrivant devant l’escalier, je vois le corps de ma mère sur le sol. Que ce passe t-il. « Maman ? » Dis-je en me précipitant vers elle. J’ai ensuite appelé les urgences et ils nous on emmenés dans leur gros camion blanc. Après plusieurs heures sans nouvelles dans l’hôpital, un médecin est venu me voir, m’annonçant que ma mère était éteinte d’un cancer. Il m’a également dit qu’elle l’avait depuis 9 ans, mais celui-ci n’avait jamais été opéré car il était très dangereux de le toucher. Mais maintenant, ils vont essayer de le faire pour la sauver. J’ai alors compris pourquoi elle était aussi distante avec moi, mon père. Elle ne voulait pas qu’on souffre. Je m’insulte moi-même et l'insulte en même temps en pensant à cela. J’ai été ci stupide en la voyant comme un démon. Je m’en veux. Mais c'est aussi de sa faute, elle aurait dû en parler.
Je suis resté plutôt jours à ses côtés, jonglant entre l’école et l’hôpital.
*** Malgré la tristesse de la chose, cela m’a donné l’idée d’essayer d’entrer dans un lycée de médecine. Si ma mère s’en sort, je pourrais prendre soin d’elle quand je serais médecin. Je me suis mis à étudier autant que je le pouvais. Je n’ai jamais été un mauvais élève, alors l’entrée dans un lycée comme celui-ci ne me demandais que quelques efforts en plus. Efforts récompensés par mon entrée dans cet établissement que je convoitais à Washington mais aussi par le succès de l’opération de ma mère. Le moins happy fut la séparation avec ma petite amie.
Finalement, j’ai eu mon bac après avoir redoublé une fois et j’ai décidé d’aller dans Princeton Academy pour continuer mes études en étant interne là-bas. Cet établissement, j’ai beaucoup entendu parler et c’est pour cette raison que je l’ai choisi.
J'ai maintenant 22 ans et je suis en deuxième année de médecine dans cet Académie. .
derrière l'écran
prénom/pseudo : Messia. âge : pays : France. personnage inventé ou scénario : Inventé. as-tu des doubles-comptes ? : Nop. fréquence de connexion : 5/7. comment as-tu connu le forum ? : Partenariat. qu'en penses-tu ? : Il gère ! quelque chose à rajouter ? :
Sujet: Re: Alban C. Campbell ☆ Julian Schratter. Dim 13 Avr - 12:19
bienvenue officiellement et bon courage pour ta fiche évidemment, tu me réserves un lien qui déchire tout avec milena ou elina, ce sera le plus simple vu l'âge et si tu as la moindre question, n'hésites pas
Sujet: Re: Alban C. Campbell ☆ Julian Schratter. Dim 13 Avr - 14:41
Bienvenue parmi nous et bonne chance pour ta fiche
Comme l'on dit mes collègues, si tu as des questions n'hésite pas à les poser
Blake J. Buckhart
☆ Arrivée à Princeton : 26/02/2014 ☆ Copies rendues : 575 ☆ Avatar : Daniel Sharman ☆ Crédits : (c) caraphernelia (avatar), (c) broadsword (signature) (c) tumblr (gif) ☆ Etudes/Emploi : Double cursus : Langue et littérature allemande et espagnole/mécanicien à mi temps/patineur artistique en grande pause
Sujet: Re: Alban C. Campbell ☆ Julian Schratter. Dim 13 Avr - 14:44
Bienvenue à toi et bon courage pour ta fiche ! Excellent choix d'avatar ! Et comme l'ont dit les collègues, si tu as des questions, n'hésite pas
Invité
Sujet: Re: Alban C. Campbell ☆ Julian Schratter. Dim 13 Avr - 17:46
Héhé merci !
Elina : Pas de soucis ! On verra ça quand je serais validé !